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Au terme d’un appel à projets, Grand équipement national de calcul intensif – GENCI et le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives – CEA ont sélectionné le 14 octobre 2024 cinq projets portés par des écosystèmes régionaux. Le projet « Maison du quantique Grand Est – MaQuEst », est l‘un d’eux. Ce projet, qui obtient 1,2 M€, est piloté et animé par l’Université de Strasbourg et coanimé par l’Université de technologie de Troyes, en partenariat avec l’Université de Reims-Champagne Ardenne et le centre Inria de l’Université de Lorraine ainsi que trois entreprises : Damavan Imaging, Euro-Information et QPerfect. La Région Grand Est cofinance ce projet à hauteur elle aussi de 1,2 M€.

Rendez-vous annuel incontournable des acteurs engagés dans la transition énergétique des territoires depuis 1999, les Assises Européennes de la Transition Energétique accueillent chaque année plus de 3500 participants – collectivités, scientifiques et experts de la transition écologique, acteurs économiques et associatifs, étudiants pour 3 jours de débats et de rencontres. Au programme : plus de 150 rendez-vous : plénières, tables rondes, entretiens, témoignages, ateliers ou encore visites de sites, pour se rencontrer, échanger, partager et faire le plein d’inspiration.

Nadine Fischer travaille depuis le 1er novembre 2024 en tant que chargée de mission au bureau de coordination du pilier Science de la RMT.

Cette manifestation, organisée par le Pilier Sciences de la Région Métropolitaine trinationale du Rhin supérieur avec le Groupe de Travail Environnement de la Conférence du Rhin supérieur, a été l’occasion de s’informer et d’échanger autour de la thématique des substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS). Une cinquantaine de participants ont profité de cette opportunité. Ces molécules ont été et sont encore utilisées dans de nombreux domaines. Leur très grande stabilité est aussi leur plus grand inconvénient : les PFAS ne se dégradent pratiquement pas, et leur accumulation dans l’environnement et le corps humain leur a valu la qualification de « polluants éternels ». Tant aux échelles nationales qu’européenne, le cadre réglementaire pour l’utilisation et l’élimination des PFAS est en pleine mutation.

Les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) ont été et sont encore utilisées dans de nombreux domaines. Leur très grande stabilité est aussi leur plus grand inconvénient : les PFAS ne se dégradent pratiquement pas, et leur accumulation dans l’environnement et le corps humain leur a valu la qualification de « polluants éternels ». Tant aux échelles nationales qu’européenne, le cadre réglementaire pour l’utilisation et l’élimination des PFAS est en pleine mutation. Organismes de recherche et administrations travaillent intensivement sur ce sujet, tant autour de l’analyse, de l’impact, de l’élimination que de la substitution. Dans le Rhin supérieur, dans lequel plusieurs sites de contamination sont déjà identifiés, les acteurs de la Science et de la Politique souhaitent soutenir l’échange transfrontalier autour de cette thématique, qui pourrait à termes aboutir sur des projets communs.

 Cette série d’événements sur la médecine personnalisée réunit l’expertise des universités Eucor et permet aux participants de s’informer sur les innovations et la recherche de pointe dans ce domaine. Chaque visite promet une expérience immersive, avec des conférences éducatives, des présentations de projets de recherche en cours et de start-ups, des visites d’installations de pointe et des opportunités de réseautage.

La série de manifestations « 3H2-On the spot » du réseau 3H2, l’initiative trinationale pour l’hydrogène dans la région du Rhin supérieur, informe sur l’expertise régionale en matière d’hydrogène.
Dans le cadre de la première manifestation, qui aura lieu le 17 octobre à Karlsruhe à partir de 12h30, les compétences du centre de recherche de la DVGW à l’Institut Engler-Bunte du KIT seront présentées.

Principal programme de financement pour la coopération transfrontalière dans le Rhin supérieur, le programme Interreg a lancé en juillet un appel à projets doté de plus de 20 millions d’euros. Il est possible de déposer des projets dans tous les objectifs spécifiques du programme, sauf celui dédié à la recherche et l’innovation (D.1 « Développer et améliorer les capacités de recherche et d’innovation ainsi que l’utilisation des technologies de pointe »). La participation des établissements d’enseignement supérieur et de recherche et la mise en œuvre d’actions de recherche appliquée dans les projets sont cependant pertinentes sur de nombreux objectifs spécifiques, relatifs entre autres à l’environnement, la transformation écologique, la prévention des risques, la transition énergétique, la mobilité, la digitalisation en matière de santé…