Le Bade-Wurtemberg veut promouvoir la mobilité de l’avenir dans son propre Etat. Il devrait être aussi exempt d’émissions que possible au niveau local, tout en protégeant le climat et en prévenant la congestion. Il s’agit d’un air plus sain, moins de bruit et une meilleure qualité de vie dans les villes.
Mobilité sans émissions sur le campus
Le ministère des Sciences demandera les concepts les plus convaincants pour une proposition complète. En collaboration avec les autres acteurs concernés, les plans d’infrastructure doivent être abordés et mis en œuvre dans des modèles. Les propositions complètes sont soutenues à hauteur de 200.000 €. Le gouvernement de l’État fournit 3,15 millions d’euros pour le développement de concepts de mobilité.
Les concepts devraient faire partie de la planification de l’infrastructure des universités.
Les différents campus ont des points de départ très différents – et c’est une bonne chose, car la réalité sur le site est différente partout. Les concepts doivent ensuite être intégrés dans la planification de l’infrastructure des universités et développer ainsi un caractère de contrôle pour les décennies à venir.
Il est urgent de trouver de nouvelles solutions, en particulier dans les agglomérations et dans la densité croissante du trafic. C’est pourquoi l’université et le campus de recherche sont au centre de l’attention en tant qu’espace expérimental pour des solutions orientées vers l’avenir. Il s’agit donc à la fois d’un lieu de recherche et d’un objet de recherche.
En plus du rôle déjà mentionné comme champ d’expérimentation pour l’ensemble de la ville, la dynamique scientifique et le nombre croissant d’étudiants nécessitent constamment de l’espace supplémentaire sur le campus lui-même et entraînent donc le volume de trafic correspondant. C’est pourquoi des solutions de mobilité intelligente et écologique pour les zones de campus en pleine croissance sont demandées.
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